Edmond Pidoux, d’après Rec. Confession d’Augsburg et Eugène Bersier, 1879.
Johann R. Ahle, 1864 (🔊 pdf nwc).
Me voici, Seigneur, Sauveur:
Je t’apporte ma prière
Je voudrais t’ouvrir mon cœur,
Et m’offrir à ta lumière,
Écouter dans le silence
Ta parole, en ta présence.
Devant toi, seul juste et grand,
Je suis faible et misérable.
N’entre pas en jugement
Avec ton enfant coupable.
C’est dans ton amour immense
Que je mets mon espérance.
Car j’ai vu ta charité
Sur la croix, ô Dieu suprême!
En ton Fils, tu t’es donné,
Quand il s’est livré lui-même.
Ton pardon me justifie,
Et je trouve en lui la vie.