Louis Porret-Bolens (1836–1914).
Fallersleben, Friedrich A. Schulz (1810–?) (🔊 pdf nwc).
Quel bonheur de te connaître,
Ô toi qui ne peux changer,
Mon Sauveur, mon divin Maître,
Secourable et bon Berger!
Je n’aurai point de disette:
Tu préviens tous mes besoins.
Rassuré par ta houlette,
Je m’abandonne à tes soins.
Même en la sombre vallée,
Tu te tiens tout près de moi,
Et mon âme est consolée
De se sentir avec toi.
Au céleste sanctuaire
Bientôt je vais être admis,
Pour te voir dans la lumière,
Puissant Berger des brebis.
Quel bonheur de te connaître,
Ô toi qui ne peux changer,
Mon Sauveur, mon divin Maître,
Secourable et bon Berger!